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Autisme. Le mercure sur la sellette
 

Source : http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2007/06/11/002-autisme-cour-vaccin.shtml

La Cour du vaccin entame ses travaux aujourd'hui, à Washington. C'est l'une des plus importantes batailles juridiques de l'histoire de la médecine qui s'amorce aux États-Unis, avec l'ouverture de ce tribunal spécial. Pour la première fois, des juges examineront une hypothèse controversée selon laquelle des vaccins causeraient l'autisme.

Les vaccins incriminés sont de deux ordres:
ceux qui contiennent une trop grande quantité de mercure;
les vaccins à haute teneur en virus vivant, comme le ROR, contre la rubéole, les oreillons, la rougeole.

Des milliers de cas d'autisme

Les parents de presque 5000 enfants américains soutiennent que leurs enfants ont développé l'autisme après avoir été vaccinés. Ces parents misent beaucoup sur le tribunal spécial pour leur donner raison.

Au Canada, cette cause suscite l'intérêt de nombreux parents. C'est le cas de Pierre Morin, de la région de Montréal. Son fils de dix ans est autiste et gravement atteint. « C'est vers le début de 2006, dit-il, que mon intérêt a augmenté parce qu'on voyait, aux États-Unis en particulier, beaucoup de chercheurs qui commençaient à faire un lien. Puis, tranquillement, suite à de nombreuses lectures, j'ai commencé à réaliser qu'il y avait probablement un lien entre les vaccins et l'autisme. »

Un pédiatre à la retraite, le docteur Edward Yazbak, est au nombre des chercheurs américains qui se posent des questions. Par exemple, sur le nombre très élevé de cas d'autisme chez les enfants d'immigrants à Montréal. Serait-ce parce qu'on les a revaccinés à leur arrivée au Canada?

Je ne peux pas vous dire pour sûr que le vaccin cause l'autisme.
Mais je peux vous dire que le seul groupe dans lequel l'autisme est en train d'augmenter,
c'est le groupe qui est revacciné. Ça m'effraie. — Dr Edward Yazbak

Le docteur David Ayoub, de l'Illinois, publiera bientôt une étude internationale qui établit un lien de causalité entre le mercure et l'autisme.

Par ailleurs, nombre de chercheurs rejettent cette hypothèse. Et ils ont beaucoup d'impact dans la communauté scientifique.

Des enjeux importants

Il a peu d'espoir que le tribunal tranche en faveur des parents parce que les enjeux sont trop énormes.

Si la Cour attribue des dédommagements aux familles des victimes, les compagnies pharmaceutiques seront à l'abri des poursuites. Les dédommagements seront alors tirés d'un fonds constitué à partir d'une taxe de 75 ¢ par vaccin que les contribuables paient déjà.

Toutefois, si le tribunal établit un lien de causalité, ne serait-ce que dans un seul cas, entre l'autisme et la présence de mercure dans les vaccins, les grandes pharmaceutiques pourraient être la cible de poursuites à l'échelle planétaire.

Dans les deux cas, des milliards de dollars sont en jeu.

 


L’autisme aux USA
Les dangers du mercure mis en évidence par des études américaines

Antérieurement à 1943, les cas étaient trop rares pour réaliser que cette maladie existait mais, aux Etats-Unis, les consultations pour des cas d’autisme sont devenues de plus en plus courantes et, entre 1992 et 2002, l’autisme a été multiplié par plus de 12 dans ce pays. D’après le CDC [Centers for Disease Control and Prevention], les cas d’autisme sont passés de 1 cas sur 10000 naissances au cours des années 1980 à 1 cas sur 166 naissances en 2003.

L’actuelle « épidémie » d’autisme se manifeste dans la plupart des pays du globe, Inde, Argentine, Nicaragua et Chine, où l’on recense actuellement 1.8 million d’autistes.

Ne pouvant nier les chiffres, outre de stupides théories pseudo-scientifiques, on a soutenu qu’avant 1991 on ne tenait pas une comptabilité précise des cas. Or, même si on admet cet argument peu crédible, en 1998 on savait parfaitement bien diagnostiquer cette maladie et, entre cette année là et 2003, les cas ont augmenté de plus de 300%.

Actuellement, six millions d’enfants américains ont été diagnostiqués comme ayant de sérieux désordres mentaux par les instances de santé américaines.

« Si cette épidémie est réellement un artéfact de pauvres diagnostics, où sont à présent les autistes de plus de vingt ans ? », demande le Docteur Boyd Haley, l’un des spécialistes mondiaux de l’autisme.

Les vaccins

L’idée d’associer autisme et vaccins demeure encore impopulaire, cependant cette idée gagne du terrain. En 1965, aux Etats-Unis, quelques parents avaient déjà constaté l’apparition de l’autisme chez leur enfant après l’injection du triple vaccin Diphtérie-Coqueluche-Tétanos. Lorsqu’un autre triple vaccin, le ROR, fut introduit en 1980 « les rapports alarmants de parents augmentèrent de façon très significative » [cf. Los Angeles Time, 26 avril 2000].

En 1980, autant aux Etats-Unis qu’en France, les enfants n’étaient immunisés que contre 4 maladies alors qu’à présent, ils reçoivent une quarantaine d’injections contre une douzaine de maladies avant qu’ils aient atteint leur seconde année.

Pierre Picard du journal "Votre Santé" rappelle que les trois vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole sont à virus vivants, atténués mais vivants ! Rappelons que la Grande-Bretagne et l’Allemagne ont interdit le ROR sur leur territoire, depuis une dizaine d’années, après avoir constaté environ trois cents cas de méningites. La France a poursuivi sa politique vaccinale, en prétendant qu’il n’y avait pas de problème, que le vaccin était fiable. Discrètement, il y a trois ou cinq ans, le ROR a été retiré du marché, après avoir remplacé la partie dangereuse (oreillons) par une nouvelle souche contre ces oreillons. Le vaccin actuel s’appelle ROR VAX.

Toujours Aux Etats-Unis, Portia Iverson, fondatrice et présidente de la CAN [Cure Autism Now Fondation] de Los Angeles, estime qu’environ 50% des parents qui l’appellent signalent que le comportement de leur enfant a changé tout de suite après la vaccination. Ceci est confirmé par le Docteur Bernard Rimland , directeur et fondateur de l’institut de recherche de l’Autisme de San Diego : « c’est une véritable épidémie. Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination, excepté des coïncidences. La vérité est que des enfants sont gravement atteints par les vaccinations ».

Depuis 33 ans, le Docteur Rimland a étudié plus de 30000 cas d’autisme à travers le monde et a découvert qu’avant les années 80, les parents signalaient que l’autisme de leur enfant s’était manifesté au cours de la première année. Mais à partir de cette époque, l’autisme est apparu vers le dix-huitième mois. Rimland a aussi remarqué que les enfants autistes viennent de familles aisées et cultivées qui profitent au maximum des découvertes de la médecine, particulièrement des vaccins. Chez de nombreux enfants, deux régressions successives ont été remarquées. La première se produit très vite après la première vaccination ROR, la seconde, bien plus grave, après le rappel du vaccin vers l’âge de 4 à 5 ans, après une période d’amélioration relative. Ces deux phases de la maladie ont servi de preuves de causalité devant les tribunaux et l’institut de médecine aux Etats-Unis.

Les ingrédients vaccinaux injectés aux bébés contiennent de nombreuses toxines, et jusqu’en 2002, ils contenaient aussi un conservateur [appelé en France Thiomersal] dérivé du mercure mais plus toxique encore. On en trouve encore dans certains vaccins vendus aux Etats-Unis et dans l’Engerix B.

« L’évidence que les vaccins sont étroitement liés à l’augmentation de problèmes cérébraux augmente chaque jour, mais les agences gouvernementales ne font rien pour le reconnaître », confirme Dan Burton, membre du Congrès, qui signale que 47% des parents qui contactent leurs députés sont certains du lien entre les deux événements.

http://www.autiminfo.com/PowerOfOne/Hearings.htm

Toujours aux Etats-Unis, le Docteur Dave Weldon a demandé d’urgence à l’American Academy of Pediatrics [AAP] d’enquêter sur l’ épidémie d’autisme et sur la question ROR, car les recherches du Docteur Ulmann et de ses collègues ont démontré que sur 91 enfants examinés, tous atteints par cet autisme régressif qui s’était développé très rapidement après le vaccin, 75 d’entre eux, âgés de 12 à 15 mois, présentaient le virus de la rougeole dans leurs intestins.

Dan Olsted, journaliste d’investigation, a entrepris une étude approfondie sur les cas d’autisme. En recherchant des enfants qui n’ont jamais été exposés au mercure vaccinal afin qu’ils servent de « cas contrôle » des expériences. Il étudia la Homefirst Health Services Chicago. Les enfants de cette communauté ne sont jamais vaccinés. Olmsted publia son enquête en décembre 2005.

Le Homefirst Health Services est une association de médecins de la banlieue de Chicago qui accouchent les femmes chez elles, puis suivent les enfants. Le Docteur Mayer Eisenstein, directeur médical, également diplômé en statistiques, en droit et en santé publique, signale : « depuis des années, nous avons suivi 30 à 35000 enfants dès leur naissance et nous n’avons pas rencontré un seul cas d’autisme parmi ceux qui n’ont jamais reçu de vaccins. Les quelques rares cas d’autisme ont été décelés chez des enfants vaccinés avant que leurs mères ne s’adressent à nous pour leur enfant suivant ».

Ces enfants, qui fréquentent les écoles publiques de l’Illinois, ont permis de faire baisser spectaculairement les moyennes d’auttistes de cet Etat. Le Docteur Paul Schattauer, qui fait partie de Homefirst depuis 20 ans et traite au moins 100 enfants par semaine confirme : « Tout ce que je sais est que dans ma pratique, je ne rencontre pas d’autistes. Nous sommes loin de 1 sur 166 cas officiels dans note pays ». En 1991, on ne trouvait qu’un enfant autiste sur 2500 dans cette région.

Le mercure

« Il est impossible de trouver une seule étude qui montre l’innocuité du thimerosal » déclare le Docteur Boyd Haley, chef du service de chimie à l’université du Kentucky, qui a publié plus d’une centaine d’articles sur la toxicité du mercure dans les plus prestigieux journaux scientifiques. « Si vous injectez ce produit animal, son cerveau est touché. Si vous l’appliquez sur un tissu vivant, la cellule meurt. Si vous l’introduisez dans une éprouvette, la culture est détruite. Sachant cela, il est impossible de croire que l’on peut l’injecter dans un corps de bébé sans causer de dommage ».

Sur le plan clinique, les manifestations de l’autisme et de l’intoxication mercurielle sont souvent superposables : dégradation de la qualité de la communication, indifférence pour les autres, confusions mentales, peurs irrationnelles, manifestations schizoïdes, désordres obsessionnels compulsifs, trouble de la coordination des mouvements, ainsi que des troubles de l’audition et de la compréhension

En juillet 2000, après avoir analysé plus de 180 publications, un groupe d’étude américain a publié les fruits de son travail de synthèse sur les relations entre autisme et empoisonnement par le mercure [cf. S.Bernard, et al., « Autism : a Novel Form of Mercury Poisoning », in ABC Research, juillet 2000].

En 1998, la FDA déclara que les enfants qui recevainet tous les vaccins recommandés absorbaient 30 à 50 foisd plus de mercure que la dose admise par l’Agence de protection de l’environnement des Etats-Unis.

Mais ce n’est qu’en juillet 1999 que l’académie américaine des pédiatres publia une mise en carde contre les vaccins contenant du thimerosal. La même année, la FDA annonçait qu’un enfant qui recevait un vaccin multiple pouvait être exposé à une dose 100 fois supérieure à celle admise pour un adulte.

Nombre de chercheurs pensent que les fabricants ont deux raisons de s’opposer au retrait total du thimerosal. La première est l’appât du gain. La seconde, la plus importante, est qu’il savent que dès qu’on le retirera le public ne pourra plus ignorer le déclin non seulement de l’autisme mais aussi celui des désordres neurologiques, déficit d’attention, hyperactivité, retard de langage, qui perturbent le système scolaire depuis plus de 15 ans. Ce déclin s’est déjà produit en Californie, qui fut l’un des premiers Etats à bannir ce poison. Or cet Etat à le meilleur système de surveillance de l’autisme des Etats-Unis et il est généralement considéré comme le baromètre du reste du pays. Les experts n’avancent aucune explication pour ce ralentissement des nouveaux cas.

Pour Rick Rollens, ex-secrétaire du sénat de Californie, co-fondateur de FEAT [Families for Early Autism Treatment], le rapport est flagrant entre le retrait du mercure et cette baisse. « Nous pouvons dicuter pendant des heures pour savoir d’où vient l’augmentation, mais la diminution est manifeste depuis le retrait du mercure ».

Le Dr Samuel Katz, de la Duke University, ardent promoteur de la politique vaccinale dans son pays, conseiller de la Immunization Action Coalition, avoue prudemment : "il y a de nombreuses données qu’on ignore sur les vaccins", cependant il n’hésite pas à imiter tous ses collègues et à se retrancher derrière le fait que "rien ne prouve la responsabilité des vaccins dans tous les cas d’autisme, de diabète, d’asthme, de sclérose et de mort subite du nourrisson". Ces déclarations prennent un éclairage nouveau lorsqu’on apprend que le Dr Katz codirige un groupe "d’information" mais surtout de propagande, appelé Vaccine Initiative, qui reçoit des fonds de six fabricants de vaccins, et que la Immunization Action Coalition est sponsorisée par plusieurs laboratoires tels SmithKline Beecham, Merck, Connaugh-Pasteur Mérieux et Wyeth-Lederle. il en va de même pour le Dr Neal Halsey, de l’université John Hopkins, pionnier de la vaccination qui siège, comme Katz, dans les comités de l’ACIP et du Red Book, et qui affirme lui aussi la sécurité du vaccin antiHB.

Une étude de mai 2006, conduite par le Docteur Arthur Krigsman, gastro-entérologue de l’Ecole de Médecine de l’université de New York, impliquant 275 enfants, a démontré de graves inflammations intestinales chez les enfants autistes, identiques à celles qui sont décrites par le Docteur Wakefield et ses collègues il y a huit ans. La biopsie du tissu des intestins de 82 de ces enfants a révélé que 70 d’entre eux (85%) avaient le virus de la rougeole dans leurs intestins. Tous les résultats obtenus montrent qu’il s’agit d’un virus vaccinal et non du virus sauvage de la rougeole.

Les journaux anglais ont largement médiatisé la nouvelle, alors qu’elle a été pratiquement occultée par les médias américains mais aussi, français.

Quelques adresses utiles non exhaustives :

• Autisme info-accueil L’association Autisme France a mis en place un numéro azur (prix appel local) qui constitue le cœur d’un réseau destiné aux parents d’autistes et aux professionnels de France, de Belgique et de Suisse romande. Au 0 810 179 179, le standard Autisme info-accueil répond tous les jours de la semaine, du lundi au vendredi, de 9 h à 13 h.

• Autisme 75, 78, rue des Dessous-des-Berges, 75013 Paris. Tél.-Fax : 01 45 84 29 59.

• Aide à l’enfance autiste, Kerantraon, 29400 Lanneufret. Tél : 02 98 20 81 31.

• Pro Aid Autisme, 42, rue Bénard, 75014 Paris. Tél. : 01 45 41 52 93.

• Fédération française Sésame Autisme, 53, rue Clisson, 75013 Paris. Tél. : 01 44 24 50 00. Fax : 01 53 61 25 63.


 



 


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