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Conclusion
 
 

 

VERS UNE NOUVELLE DEFINITION DE LA « SANTE PUBLIQUE»

Les vaccins ne sont qu'un volet d'un système aussi écoeurant qu'hallucinant:

Il est plus facile pour l'homme de briser un atome que de briser un préjugé." Robert Einstein

- L'ÉDUCATION. Non contentes de nous avoir inculqué la croyance que les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvue de fondement: les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l'establishment) sont très éloquents sur ce sujet et démontrent que la régression des grandes maladies est due à l'amélioration des conditions de vie, et notamment de l'hygiène. Ce lessivage de cerveau s'appelle de "l'éducation sanitaire" ou de "l'hygiène publique". Toutes les personnes qui oeuvrent dans le domaine de la santé reçoivent cette formation mensongère concernant la vaccination. Elles la transmettent sans vérifier et permettent ainsi à la vaccination de devenir une agression aussi "normale" que la violence et la guerre à la télévision.

- LE VOCABULAIRE. Les autorités ont l'art de diffuser des expressions qui façonnent nos idées et notre comportement. Ainsi, l'hiver devient "la saison de la grippe". D'où la pensée d'épidémie de grippe, d'où besoin du vaccin contre la grippe. Et le tour est joué! Le marketing social va encore plus loin. il nous fait croire que les personnes âgées sont plus vulnérables aux maladies, donc à la grippe en hiver, d'où la nécessité de toutes les vacciner. Et, pour les protéger davantage, vacciner aussi tout le personnel préposé à leurs soins! Cela s'appelle le gérontocide.
Un des initiateurs du vaccin contre la grippe répète régulièrement à ses amis: "Si tu veux hériter rapidement, vaccine ta grand-mère contre la grippe !

- L'ÉMOTION. Pas n'importe laquelle: la peur. Le concept de la vaccination repose sur le TANDEM PEUR-PROTECTION. On nous fait peur puis on accourt nous protéger. Sommes-nous si impuissants et démunis que nous ayons besoin de protection? La manipulation nous fait croire que oui. Nous nous faisons entretenir par nos protecteurs. Comme dans la Mafia. Mais ça coûte cher, la protection! Pour être encore plus efficace, le marketing social joue sur une autre émotion, plus perverse encore: la culpabilité. "Si je ne fais pas vacciner mon enfant et qu'il attrape une maladie, je m'en voudrai pour le reste de mes jours..." Et s'il meurt de la mort subite du nourrisson ou fait une leucémie à trois ans ou une sclérose en plaques plus tard parce que nous l'avons fait vacciner, que dira notre belle conscience? De plus, qui sommes-nous pour prendre sur nous la responsabilité du sort des autres?

- L'INFLUENCE. Il faut faire comme les autres. Si tout le monde le fait, c'est sûrement bien. Mais avons-nous oublié les moutons de Panurge ? On suit la mode vestimentaire, alimentaire, musicale... et vaccinale. Surtout ne pas se poser de question. Les autorités qui, elles, savent mieux que nous, disent toutes que c'est bien. Comment penser différemment? On appelle cela la pression sociale. Elle est orchestrée par l'Establishment & associés (financier, politique, médiatique, industriel, médical, d'assurances, religieux, artistique, universitaire) et est disséminée par le marketing social.

- LA MORALE. Les autorités parlent de "droit à la santé pour tous"... qui dit mieux? Or, qui dit droit, dit devoir. D'où le "devoir social" de se faire vacciner. Y "échapper" serait refuser la santé pour tous. Quel manque d'éthique et de conscience sociale! En bon citoyen, on remplit ses devoirs et on se fait vacciner. Et le tour est joué, le marketing social a bien fonctionné.

- L'INFORMATION. Médicale ou non médicale, l'information est l'objet des soins jaloux de l'establishment. C'est l'outil de diffusion du marketing social. La pression de la censure (déguisée bien entendu, puisque la presse est "libre") est si forte que les journalistes finissent par s'autocensurer. Ils savent que certaines informations ne peuvent pas être diffusées. Sinon, l'organe de presse ("indépendant") sera privé de son soutien, la publicité (les multinationales) sans lequel il ne peut vivre et le journaliste, muté aux "chiens écrasés". Les journalistes transmettent l'information qui leur vient des autorités et la reproduisent sans trop en douter. Dans un domaine aussi bien protégé que la vaccination, ils ne doivent pas se poser des questions. S'ils s'en posent trop, on coupe leurs textes... puis on coupe leur poste... Toutefois, certains le font. C'est ainsi que le programme "60 Minutes" a présenté, sur le réseau américain en 1979, une enquête sur la campagne de vaccination massive contre la fièvre porcine aux U.S.A. en 1976. Ce vaccin engendra tellement de complications (surtout neurologiques), de paralysies et de morts que des poursuites énormes furent intentées. Cette émission fait étalage du marketing social dans toute sa splendeur. Tous les ingrédients y sont. je vous encourage vivement à la regarder si vous voulez connaître les rouages d'une campagne de vaccination massive.

2e étape, l'organisation: la soumission MOINS consentie
Elle assure l'efficacité de la manipulation. Elle consiste en un système de contrôle par fichage de la population et des médecins. Tous sont fichés sur ordinateur et on les suit à la trace. On s'assure que chaque citoyen reçoit ses vaccins régulièrement et que chaque médecin les donne. On dresse des listes, on fait des fiches, on impose des carnets de vaccination... personne n'y échappe. Les négligents sont immédiatement rappelés à l'ordre. C'est l'embrigadement systématique. Big Brother veille sur votre santé!

3e étape, la répression: la soumission NON consentie
Elle punit les insoumis. Pour s'assurer l'obéissance, les autorités font des lois. Obligatoires au tout début du siècle, les vaccins le sont encore dans plusieurs pays, notamment aux U.S.A. et en France. Quand les gens prennent conscience de la réalité des vaccinations, l'insoumission s'installe. Quand les résistances sont trop fortes, l'O.M.S. passe en douce de nouvelles lois, comme la Convention des Droits de l'Enfant.

Les insoumis se voient interdire l'accès des garderies (ou crèches), des écoles, des universités, de certains hôpitaux ou cliniques. Ils ne peuvent voyager à l'étranger. Ils se voient interdire l'exercice de certains métiers. Ils sont harcelés continuellement par les autorités médicales, administratives, scolaires... Ils sont les moutons noirs du beau programme de "la santé pour tous".

Les grands insoumis se font imposer des amendes, perdent le droit de pratiquer la médecine, se font mettre en prison, ou vacciner de force.
Réalisons que:
tout ce réseau hiérarchique relève du commandement du
-ministère national de la Santé: Donna Gouvernementa, lui-même sous le commandement du
-ministère mondial de la Santé: sainte O.M.S.



Laissons la parole à Edward Kasse, médecin américain, qui adressait la parole au Congrès de Vienne sur les maladies infectieuses en 1983, à titre de Président du Congrès:
" Le but des épidémiologistes ne doit pas être l'éradication des maladies infectieuses grâce à l'emploi massif des vaccins et des antibiotiques, mais le contrôle et l'amélioration de la qualité de vie... il faut admettre qu'il existera un certain nombre de cas de tuberculose, de polio ou de malaria et entrer dans une dynamique écologique naturelle en rendant efficaces les possibilités de défenses de notre organisme, grâce à une politique sanitaire non contaminée par les intérêts des multinationales pharmaceutiques."
En bout de ligne, nous nous retrouvons devant le dilemme suivant: obéir aux autorités ou écouter notre conscience. Donner notre pouvoir aux autres ou l'exercer nous-mêmes. Blâmer nos gouvernants ou prendre nos responsabilités. C'est une question de conscience. À cet effet, il existe des "clauses de conscience" (reconnues dans certains États américains) pour refuser la vaccination. En France, les jeunes recrues de l'armée ont le même droit légal. Au Canada, la vaccination est fibre... mais on nous fait croire qu'elle est obligatoire... Le droit à la santé est un droit légitime, inné, de toute personne humaine. Aucune loi ne peut nous accorder ce que nous avons déjà... et encore moins nous l'enlever! Obéir aux lois, c'est se soumettre à la légalité, le pouvoir extérieur. Écouter sa conscience, c'est respecter sa légitimité, son pouvoir intérieur d'essence divine. Entre la légalité et la légitimité, NOUS AVONS LE POUVOIR DE CHOISIR!

Dans son ouvrage Vaccin Hépatite B, les coulisses d'un scandale, le Dr VERCOUTERE écrit p. 45 : « …D' après un rapport remis en novembre 1997 par le Comité technique de pharmacovigilance à Bernard KOUCHNER, secrétaire d'État à la Santé, 18.000 décès seraient dus aux médicaments en France, soit 2 fois plus que les accidents de la route… Pour maîtriser parfaitement le marché et influencer le corps médical, les laboratoires ne manquent guère de moyens, et dépensent environ 12 % de leur chiffre d'affaires, soit 14 milliards de FF par an, en formation continue, congrès, séminaires (organisés de préférence sous les cocotiers), menus cadeaux, aide à la publication (qui peut aller jusqu'à la rédaction du contenu de l'article), et enfin publicité déguisée sous forme d'articles scientifiques dans la presse médicale, sponsorisée par les laboratoires (excepté 2 revues médicales totalement indépendantes : Prescrire et Pratiques, qui ne vivent que de leurs abonnements. Les laboratoires dépensent en moyenne un peu plus de 80.000 FF. (12.200 euros) par an et par médecin pour sa formation et son information (Cf Science et Vie Juin 1998) ».

« …Dès la fac de médecine, les futurs praticiens sont «pris en charge» par l'industrie pharmaceutique. Certains laboratoires offrent aux meilleurs étudiants des préparations gratuites au concours de l'Internat, d'autres les aident à rédiger leur thèse…».

P.46 : «…Selon le Pr Robert WEISS, directeur de l'institut de recherche sur le cancer en Grande-Bretagne, une grande partie du corps médical est devenue à tel point l'obligée du corps pharmaceutique que l'évaluation des médicaments en devient aléatoire… ».

P.47 : «…Ainsi la classe dirigeante fabrique-t-elle, grâce au système scolaire, une foule de personnes coulées dans le même moule à penser… ».

On ne peut être qu'écoeuré, mais du même coup, l'on comprend mieux un certain nombre de faits.

Il y a quelques mois, un directeur d'une société de téléphonie parisienne me raconta:
«… Je vais régulièrement au Brésil. J'adore ce pays. L'avant-dernière fois, j'avais été piqué par des moustiques, et sur tout mon corps, les boutons se sont infectés. C'était très douloureux, et j'avais de la fièvre.
Dans un petit hôpital Brésilien, l'on m'appliqua 2 plantes sur les boutons : l'une calma la douleur en quelques minutes, et grâce à l'autre, je fus guéri en 48 heures.
L'année suivante, j'eus exactement la même mésaventure, sauf que je n'eus pas le temps de me faire soigner au Brésil : la thérapeutique pouvait bien attendre la 1/2 journée de trajet en avion. Mais je fus hospitalisé à Paris pendant 3 semaines, traité aux antibiotiques, j'ai souffert pendant 3 semaines, et j'ai perdu 7 kilos… ».

Cette anecdote résume à elle toute seule une montagne d'aberrations.
Il est fort probable que si l'on avait pratiqué la technique brésilienne en France, le thérapeute aurait été poursuivi pour exercice illégal de la médecine.
Le Dr SCOHY, qui fut l'un des premiers à tenter d'alerter l'opinion sur les vaccins, a (évidemment) été radié de l'Ordre des Médecins.
Le Dr HAMER grâce à qui des centaines de cancéreux dans toute l'Europe, peuvent affirmer avoir guéri définitivement, est l'objet de poursuites dans presque tous les pays d'Europe.
Le Pr BELJANSKI, qui a soigné François MITTERRAND, et grâce à qui des dizaines de cancéreux et de sidéens avaient retrouvé la santé, a connu les pires ennuis, et notamment une perquisition effectuée par 180 gendarmes, hurlant à ce biologiste de 73 ans qui vivait seul avec sa femme, « qu'il était une secte ».
La France vient d'être condamnée par la Cour Européenne des Droits de l'Homme, par Arrêt du 7 février 2002, à lui verser... 4.500 euros pour dommage moral. Entre temps, ce malheureux est mort des tracasseries qu'on lui a faites. La famille touchera royalement 4.500 euros...

Qu'importe ? On continue.

Il est clair aujourd'hui qu'il existe une volonté politique de pourchasser toutes les méthodes bon marché susceptibles de nous maintenir en bonne santé, ou de nous la faire recouvrer si nous sommes malades.
Les gouvernements font semblant de vouloir résoudre les problèmes de société, mais ne veulent surtout pas que l'on trouve des solutions, puisque la plupart des dirigeants vivent de ces problèmes !

Le Général DE GAULLE a dit un jour « Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche… ».
Aujourd'hui les chercheurs qui trouvent sont immédiatement neutralisés, sauf si ce qu'ils ont trouvé peut rapporter gros...

Je ne compte plus les gens que j'ai rencontrés qui ont guéri de maladies dites « incurables », et qui m'ont indiqué par la suite que le thérapeute qui les avait aidés, était poursuivi. Car en France il vaut mieux mourir légalement que rester en vie illégalement.

Je pense encore à ce jeune homme qui a guéri du sida (son dossier était incontournable) et qui se cache, tant il a été l'objet de menaces.
Je ne peux que conseiller la lecture du livre du Dr Tal SCHALLER Artisans de leur miracle, qui évoque de nombreux cas de malades condamnés par la médecine, qui ont eu le courage de se guérir. Sa lecture peut redonner l'espoir à ceux qui se croient trop vite impuissants et obligés de souffrir.

En outre, lorsque nous avons évoqué l'hypothèse suivant laquelle les vaccins pourraient être «pucés» (contenir une micro-puce) ce qui pourrait être une des raisons pour lesquelles certains « scientifiques » insistent pour les maintenir, les bien-pensants ont tout de suite fait observer que « personne n'aurait jamais l'idée honteuse d'implanter une micro-puce dans le corps humain, et que nous étions des illuminés en pleine science-fiction… ». Or, le 4 avril 2002 la B.B.C. News nous fait savoir que les États-Unis ont donné l'autorisation d'implanter une puce (appelée « Big Brother » ou « Verichip ») contenant des informations médicales et personnelles dans le corps humain, à la firme A.D.S. ...

La carte Vitale collée à la peau ! On y est ! (Mais nous sommes toujours des illuminés !).
Je repense à mon instituteur du C.P. qui traitait certains d'entre nous « d'imbéciles heureux. .. ».

Le système actuel a besoin pour vivre, que nous soyons tous dans une santé précaire, ce qui fait « tourner la machine ». On ne poursuivra jamais ce grand professeur d'orthopédie qui a opéré des tas d'enfants car leurs deux jambes avaient 1 ou 2 millimètres de différence... jusqu'à ce que ses confrères lui fassent observer que pendant la croissance, c'est normal… Mais on poursuivra celui qui guérit les maladies dites « incurables »...

Je propose donc que nous rebaptisions le Code de la Santé publique qui s'appellerait désormais « Le Code de la Maladie Publique ».

 


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