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Indices en faveur d’une participation du gouvernement des USA
 
 

 


Les simulations militaires ayant eu lieu le matin du 11 septembre

Plusieurs enquêteurs ont évoqué le fait que les nombreuses simulations militaires et les exercices de préparation à un désastre qui ont eu lieu le matin du 11 septembre 2001 ont pu servir de couverture aux véritables attaques. Parmi ces enquêteurs, on trouve la député Cynthia McKinney, le journaliste Webster G. Tarpley, l'économiste Michel Chossudovsky et Michael Ruppert, fondateur de From the Wilderness. Le matin du 11/9, les simulations militaires et les exercices suivants ont eu lieu sous le contrôle de l'US Air Force, NORAD, CIA, NRO, FAA et la FEMA:

  • L'opération Northern Vigilance, un exercice annuel de l'Air Force simulant une attaque russe, dans lequel les chasseurs de la défense aérienne qui patrouillent normalement au Nord-Est sont redéployés sur le Canada et l'Alaska
  • Les opérations Vigilant Warrior et Vigilant Guardian, un exercice combiné (un attaquant et un défenseur) simulant des détournements d'avions et l'injection de faux signaux d'avions sur les radars.
  • L'opération Northern Guardian qui aurait affaibli la capacité de réponse de la base aérienne de Langley.
  • Un exercice du National Reconnaissance Office, prévu à 9 h, simulant le crash d'un petit avion d'affaires suite à un problème mécanique, sur l'un des quatre bâtiments de son quartier général. Cependant, selon une porte parole de l'agence, « l'exercice a été annulé dès que la vraie attaque a commencé »

Avec au moins cinq scénarios de détournement d'avions se déroulant pendant ces exercices militaires, les radars de la NORAD et de la FAA auraient sans doute affiché un grand nombre d'avions détournés, ce qui aurait eu pour effet d'affaiblir et de retarder la réponse à une attaque réelle. La député McKinney a questionné le ministre de la Défense Donald Rumsfeld à deux reprises sur ces exercices militaires du 11 septembre, lors de son témoignage devant le Congrès.

Séismes enregistrées peu avant/durant l'effondrement

Des pointes sismiques de 2,1 et 2,3 ont respectivement été enregistrées par l'Université Columbia lorsque la Tour nord et sud ont commencé à s'effondrer. Ces secousses, qui avaient comme épicentre le sous-sol des Tours jumelles, étaient brèves mais violentes, et facilement attribuables à des explosions à la base des tours, suffisamment puissantes pour avoir affaibli d'un seul coup la structure de base des édifices et provoqué leur effondrement.

Il est à noter que dans la technique de démolition contrôlée par implosion, l'étape de la destruction de la structure de base d'un édifice est nécessaire pour entraîner la structure verticale à s'effondrer sur elle-même, une fois que le centre de l'édifice a été affaibli. Si de la thermite ou des explosifs avaient déjà été utilisés sur les "noyaux" traversant le centre de chaque tour, il ne manquait qu'une puissante explosion à la base pour déclencher l'effondrement.

 

Les Tours jumelles mises hors-tension les 8 et 9 septembre 2001 ?

Scott Forbes, un employé-cadre de la firme Fiduciary Trust, située aux 90e, 91e et 94e étages de la Tour sud a rendu un témoignage] sur quelques sites d'information alternatifs concernant la mise hors-tension d'au moins la moitié de la Tour sud du WTC durant la fin de semaine précédant le 11 septembre, et en plus de l'intervention d'une multitude de techniciens dans l'édifice.

Cette opération, qui avait soi-disant pour but de mettre à jour le système de câblage réseau sur une bonne partie de l'édifice, a nécessité la coupure du courant électrique durant 30 heures, et cela incluant la mise hors-tension de tout le système de sécurité et de surveillance par caméra de la Tour sud. Alors qu'il travaillait à remettre le réseau informatique de la compagnie en marche le dimanche 9 septembre, Forbes a noté une grande activité dans l'édifice, sur différents étages, alors que plusieurs équipes de techniciens entraient et sortaient aléatoirement, et ce alors que les caméras de sécurité étaient non-fonctionnelles et sans aucune vérification électronique de sécurité pour les personnes qui entraient et sortaient.

Cet indice donne du poids à la théorie voulant que les Tours jumelles auraient été préalablement truffées d'explosifs ou de thermite lors d'une opération secrète sous la couverture des autorités, rendant ainsi possible la destruction complète des édifices lorsqu'ils seraient frappés par les avions, moins de deux jours plus tard.

 

Démolition contrôlée des tours

L'effondrement des tours a également donné lieu à diverses spéculations. Tombant en 10 et 8 secondes, elles présentent les caractéristiques spécifiques d'une démolition contrôlée et d'une chute quasi-libre évidente.

 

Probabilité de l'écroulement vertical d'une tour

Pour certains, aucun effondrement vertical de tour n'a eu lieu sans explosion contrôlée dans l'histoire de l'architecture ; or il y a eu un tel effondrement pour les deux tours jumelles et pour la tour 7 du complexe quelques heures plus tard.

 

Un effondrement impossible en 10 secondes

Les tours jumelles ont mis 8 et 10 secondes pour s'effondrer. Une boule de billard lâchée dans le vide depuis la hauteur du WTC mettrai 8,79 secondes avant de toucher le sol. Or il est physiquement impossible, en suivant la théorie officielle d'effondrement successif des planchers, que les tours aient mis ce temps. En effet pour que le bloc supérieur ait atteint le sol en si peu temps cela suppose que les étages inférieurs n'aient offert aucune résistance. Cependant si on prend la théorie officielle, c'est le poids des étages supérieurs qui a progressivement fait céder les planchers en dessous. Or, avant de casser, les planchers auraient dû ralentir la chute en raison de leur résistance. Selon des modèles mathématiques la chute, telle que décrite dans les rapports officiels, aurait pris plus d'une minute.

Pour les plus sceptiques, il est nécessaire d'ajouter que la chute libre d'un objet ne dépend absoluement pas de sa masse (la physique le démontre très facilement). Ainsi un immeuble de plusieurs milliers de tonnes tombe aussi rapidement qu'une boule de billard (dans le cas où l'immeuble en question ne s'oppose aucune résistance à lui-même, autrement dit si les principaux organes de soutien du building ont été explosés).

 

Cas de la tour n° 7

Le bâtiment 7 n'a été touché par aucun avion, n'a subi que des dommages superficiels légers dûs à l'effondrement des Tours jumelles, et était séparé des tours par une autre tour restée debout. Quelques personnes écrivent que la vitesse de son effondrement est égale à la chute d'un objet dans le vide (sans frottements autres que ceux dus à l'air), ce qui est impossible sans implosions contrôlées. Ces éléments importants rendaient son écroulement suspect jusqu'à ce que le propriétaire témoigne en avoir autorisé la destruction contrôlée.

De plus, il est important de constater que cet immeuble abritait des bureaux de la C.I.A., des services secrets, de l'I.R.S., le bunker de Rudolph Giuliani et 3000 à 4000 dossiers sur des investigations à Wall Street.

La version officielle veut que l'écroulement soit dû à un incendie (qui, pour le gouvernement, aurait été allumé par des parties des deux tours du WTC en feu tombant sur l'immeuble) alimenté pendant plusieurs heures par des réserves d'essence. Mais jamais un bâtiment en acier ne s'est ainsi effondré à cause du feu. Par exemple lors de l'incendie du Windsor à Madrid les 12 et 13 février 2005 qui a duré près de 20h, le bâtiment fut ravagé par les flammes, mais est resté debout. De plus le rapport de la FEMAréf. nécessaire serait une « blague », vu son manque de reconnaissance de faits évidents concernant l'effondrement des trois édifices.

 

Le propriétaire du WTC dit avoir autorisé la destruction controlée de la tour 7

Rajouté le 18/04/06 : En ce qui concerne l'effondrement de la tour 7, Larry Silverstein, propriétaire de ce bâtiment et des Tours jumelles à la date des attentats, a admis dans un documentaire diffusé sur la chaîne PBS en septembre 2002 et intitulé America Rebuilds qu’il a lui-même décidé, conseillé en cela par le FDNY (Fire Department of New York) de la destruction contrôlée du WTC7 le jour de l’attaque. L’emploi par Silverstein du verbe anglais Pull renverrait au jargon désignant les destructions planifiées de bâtiments grâce à des explosifs].

 

Implosion programmée de la tour n°7 ?

De l'avis d'experts dans le domaine de la destruction de bâtiments par implosion, la vidéo de l'écroulement de la tour est sans aucun doute possible la conséquence d'un travail minutieux réalisés par des hommes de l'art, plutôt qu'une conséquence de la chute des deux tours jumelles.

Par ailleurs, l'hypothèse de la destruction programmée décidée le jour même dans un souci de préserver les personnes, biens et immeubles alentour, souffre d'une faille majeure. Il est en effet peu plausible que des experts en explosifs se soient rendus sur place, dans les flammes et le danger, afin de positionner minutieusement les explosifs, les câbles et les détonateurs afin de procéder à l'implosion de l'immeuble.

 

Cas des tours 1 et 2 (Twin towers)

L'écroulement vertical et rapide des tours est sans doute une des choses les plus controversées, des chercheurs comme Jeff King, professeur du MIT, ou très réputés comme Jim Hoffman (surface d'Hoffman), ainsi que le cabinet d'architecture Weidlinger Associates démentent la théorie de l'effondrement dû uniquement à la chaleur. Pour eux, la structure du noyau de la tour n'aurait pas pu permettre un effondrement vertical.

 

Témoignages d'explosions

De nombreux témoignages oraux (policiers, pompiers, journalistes, civils) et documents vidéos, montrent une détonation à la base de la tour 1 environ 9 secondes avant les écroulements. Une caméra qui filmait d'une autre tour à sursauté sous la vibration de l'explosion].

De plus, des survivants, ainsi que des pompiers, auraient entendu ou senti le souffle d'explosion à l'intérieur des tours, aux premiers niveaux longtemps après les impacts des avions.

Les policiers, pompiers, journalistes et civils et de nombreuses vidéos témoignent également d'explosions en série le long de la tour au fur et à mesure de la chute]. Les éléments compris dans la tour (mobilier de bureau, papiers, ordinateurs) ne permettent pas d'expliquer de telles explosions.

Certaines de ces explosions sont très violentes, expulsant des débris à plusieurs dizaines de mètres de distance. Un des piliers d'angle de la tour 1 reste debout sur plusieurs centaines de mètres pendant quelques secondes vu du village ouest de Manhattan. (cela ne permettant pas a priori de conclure quoi que ce soit).

La chute des débris et le nuage de poussière ne respecte pas les lois de la gravité d'un effondrement. La forme que prend le nuage de poussière en pain de sucre implique une propulsion des débris vers le haut depuis le sommet de la tour (une explosion). Dans le cas d'une simple chute le nuage monterait moins haut.

Dans le cas des tours 1 et 2, des explosions horizontales "en bouchon de champagne" appelées squibs dans le jargon anglais des démolisseurs, sont nettement visibles en deçà du panache de poussière au fur et à mesures que les tours s'effondrent.

En résumé, le WTC aurait été miné d'explosifs à des endroits stratégiques, explosions qui sont détectables sur les vidéos et les images disponibles.

Une hypothèse alternative aux explosifs, et non moins probable, est l'utilisation de thermate composée de thermite et de souffre entre autres pour assister à l'effondrement des tours. La thermate provocant une chaleur suffisamment intense pour mettre en fusion en l'espace de peu de temps des poutres d'acier à l'épreuve du feu telles que celles dans la structure du WTC. Son utilisation explique les traces de souffre retrouvées dans les débris ainsi que le dessin de coupe biseautée caractéristiques des démolitions contrôlées visibles sur certaines poutrelles.

Il existe également une vidéo montrant de la matière en fusion produisant des étincelles (thermite ?), quelques secondes avant la chute de la tour 2.]

 

Études du crash d'un avion de ligne sur les tours

Selon une étude réalisée en 1964 lors de l'élaboration des plans du WTC, le crash d'un Boeing 707 volant à 600 mph (963 km/h) n'aurait pas causé son effondrement. Les caractéristiques de cet avion seraient quasiment identiques, pour ces conspirationistes, à celles des avions détournés; il est à noter que, lors du procès concernant le premier attentat contre le WTC en 1993, des experts avaient annoncé que les tours ne résisteraient pas à un Boeing 767 (le type d'avion utilisé).

Selon les architectes qui en ont dessiné les plans, le World Trade Center a été conçu pour résister à un choc avec un Boeing 707 volant à vitesse réduite, dans l'hypothèse d'un choc en cas d'égarement dans un brouillard intense.

 

Température de fusion de l'acier et température développée par l'incendie du carburant

Des questions importantes auraient été ignorées par les médias: par exemple, la température n'aurait pas été suffisante pour que la fragilisation des structures métalliques provoque l'écroulement. La température de fusion de l'acier étant de 2 700 °F (1 482 °C), et la température maximum que peut atteindre le carburant de ce type d'avion étant de 1 800 °F (982 °C) dans des conditions optimales. D'autre part, l'acier des tours a été certifé pour supporter 2 000 °F (1 093 °C) durant six heures (preuve en est l'incendie de 1975 dont le WTC s'est sorti avec des dégâts superficiels. Par ailleurs, les avions n'ont pas frappé les tours en plein centre, et n'auraient donc pu atteindre la structure centrale. De plus, (les boules de feu à l'extérieur le prouvent) une bonne quantité de carburant a brûlé à l'extérieur des tours.

Il a tout de même été relevé que de nombreux points du noyau central n'étaient pas ou peu recouverts de matériau ignifugé, ce qui a permis au feu de fragiliser la structure interne, jusqu'à ce que le poids des étages supérieurs à l'impact ne fasse s'écrouler la tour. Toutefois, la vitesse à laquelle se sont effondrés les étages de chacune des deux tours (10 secondes en tout) ne correspond pas à une rupture des étages opposant une résistance un à un mais à celle de la gravité sans aucun frein. Le matériau n'opposant aucune résistance comme lors des démolitions contrôlées. À noter enfin qu'il est difficile d'établir avec précision la durée de chute des tours, le nuage de poussière masquant la fin de l'effondrement.

 

Le passeport retrouvé

En un temps très court, il a été annoncé que le passeport de l'un des terroristes, présent dans l'un des avions qui s'étaient écrasés sur les tours du World Trade Center, avait été retrouvé parmi les débris des tours. La découverte rapide de ce passeport en papier en relativement bon état a provoqué certains doutes sur une implication gouvernementale dans les attentats.


 


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