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La composition des vaccins

 

Si tous les médecins connaissaient la composition des vaccins, il est probable qu'ils seraient plus prudents dans leurs recommandations vaccinales....

 

Vu dans Biocontact Un effroyable brouet…

de Sylvie Simon Journaliste et écrivain, spécialisée dans l'investigation scientifique et médicale

En effet, les vaccins contiennent principalement des microbes et des virus qui peuvent devenir redoutables lorsqu'ils sont combinés à d'autres virus, inoffensifs par eux-mêmes. Les vaccins contiennent également des adjuvants destinés à conserver ou à désinfecter leur bouillon de culture :
- Le formaldéhyde, ou formol, classé dans la catégorie des cancérigènes probables pour l'homme (groupe 2 A).

- Le mercurothiolate, thimérosal ou thiomersal (1), destiné à limiter le risque de contamination bactérienne, constitué à 49,6 % de mercure. Les toxicologues estiment que sa toxicité est équivalente à celle du méthyl-mercure, l'extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irreversible.

- L'hydroxyde d'aluminium (2), adjuvant qui augmente et prolonge la réponse immunitaire aux antigènes inoculés, est couramment utilisé dans les vaccins. Traversant la peau, l'hydroxyde d'aluminium pénètre les tissus pour s'y fixer, se combiner à la ferritine du sang, en lieu et place du fer, et gagner la circulation générale, ventuellement jusqu'au cerveau. Tout récemment, le Pr Ghérardi, de l'hôpital Henri Mondor à Créteil, a décrit une pathologie particulièrement invalidante dont la fréquence ne cesse de croître : la myofasciite à macrophages (MFM) et qui se manifeste au point d'injection des vaccins. En outre, l'aluminium paraît être impliqué dans la maladie d'Alzheimer. De l'hydroxyde d'aluminium : 650 microgrammes par vaccin alors qu'il est admis que 60 microgrammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997).

- Certains vaccins sont cultivés sur la bile de bœuf ou le sérum fœtal de veau, susceptibles de transmettre l'encéphalite spongiforme bovine, alors que tout extrait d'origine bovine est (strictement) interdit dans tout médicament depuis 1994.

- Quant au vaccin anti-hépatite B, c'est un vaccin génétiquement modifié, il entre donc dans la catégorie des OGM que les Français ont massivement rejetés.

D'après le rapport technique 747 de l'OMS, trois types de contaminants peuvent se retrouver dans le produit final : d'abord des virus, ensuite des protéines capables de cancériser d'autres cellules et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, avec le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un ADN contaminant hétérogène (de nature différente), en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences potentiellement cancérigènes.

Fabriqué par Pasteur-Mérieux, le vaccin GenHevac B est préparé à partir de l'antigène HBs produit par fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris. Ces cellules sont immortelles, ce qui signifie qu'elles ont un caractère de cellule cancéreuse. Le virus SV 40 est souvent associé au médulloblastome, la plus fréquente des tumeurs du cerveau en pédiatrie.

Détail encore plus inquiétant, le vaccin pourrait aussi contenir une enzyme au pouvoir mutagène, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase), que l'on trouve dans diverses cellules normales ou pathogènes, capables de modifier les gènes en multipliant ainsi considérablement les maladies génétiques chez les vaccinés et leur descendance. Le potentiel mutagène de cette enzyme a été démontré par des chercheurs américains, notamment dans des essais in vitro lors de la synthèse d'ADN. Ces fragments d'ADN peuvent générer des mutations à moyen ou long terme et générer ainsi des effets cancérigènes.
Le vaccin Engerix B, préparé par les techniques du génie génétique, contient cette enzyme qui se trouve être dix fois plus active que dans les autres vaccins (20 µg au lieu de 2 µg).

De surcroît, les vaccins génétiques contiennent de la ribonucléase, très probablement d'origine virale. Cette enzyme dégrade les ARN de la cellule et également les polymères synthétiques.
En outre, ces cellules sont nourries avec du sérum de veau, dont l'usage est interdit par la législation concernant les médicaments injectables en raison du risque de contamination par des prions particulièrement dangereux.

Ainsi, ce vaccin inocule, de façon absolument certaine, des substances éventuellement cancérigènes et des résidus d'outils de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de tératogenèse. Par ailleurs, d'après leurs promoteurs, on ne pourra mesurer l'éventuelle efficacité de ces vaccins, comme leur nocivité, que dans 15 ou 20 ans. Toute personne inoculée est donc un cobaye !

1) Dosage du thiomersal (éthylmercure) dans les vaccins contre l'hépatite B : cliquez ici
2) Liste des vaccins contenant des sels d'aluminium disponible sur le site de l'Institut de veille sanitaire.

 

Ainsi l'aluminium et le mercure contenus dans les vaccins sont la cause d'un empoisonnement dont les conséquences à long terme sur le système nerveux sont très graves. Chaque injection vaccinale apporte dans l'organisme des quantités plusieurs dizaines de fois supérieures aux normes autorisées de ces métaux dont la toxicité sur le système nerveux a été pourtant abondamment démontrée. Ainsi, un enfant d'un an, normalement vacciné, a déjà reçu plus de 8000 microgrammes d'aluminium !
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En Californie, le 29 janvier 2001, Jock Doubleday a offert une prime de vingt mille dollars à tout médecin diplômé ou à tout représentant d'une firme pharmaceutique qui boira publiquement le mélange d'adjuvants qui se trouvent dans les vaccins standards recommandés pour les enfants de six ans !

Le mélange ne contiendra ni bactérie ni virus vivant ou atténué mais uniquement les adjuvants vaccinaux dans leurs formes et proportions habituelles, selon les recommandations du guide 2000 de Centre de Contrôle des Maladies et de la Prévention, dosés en fonction du poids du receveur : thiomersal, éthylène glycol, phénol, benzothénium chloride et formal-déhyde d'aluminium.

Les fondateurs de ce prix original considèrent que ceux qui sont mandatés pour administrer ce genre d'adjuvants aux enfants doivent, logiquement, les considérer comme étant bénéfiques pour la santé et par conséquent ne doivent pas voir le moindre inconvénient à en boire une fiole en présence de témoins.

L'organisation de l'événement se fera dans les six mois après l'agrément écrit d'un candidat afin de parfaire les termes juridiques couvrant l'affaire. Voir les conditions d'inscriptions sur le site

http://www.spontaneouscreation.org/SC/20,000Offer.htm

Puisque aucun postulant ne s'est proposé aux Etats-Unis, l'information circule désormais en Europe dans l'espoir de trouver un jour un candidat ! Pour ceux qui sont intéressés par la Mercedes offerte, consulter le site www.brabus.com. Il y a dans cette offre une manière provocatrice de mettre en évidence le problème des adjuvants qui pourrait nous faire sourire si ces substances toxiques n'étaient pas injectées chaque jour à des milliers d'enfants. Comment pouvons-nous admettre plus longtemps un empoisonnement généralisé et légalisé qui menace la vie de nourrissons innocents ?

Voir aussi mes pages sur le sujet: http://www.autreversion.info/Les%20vaccins.htm

 



 


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