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Vaccins et Empoisonnement par le thiomersal (Mercure)
 
Suite à toutes mes recherches, j'ai découvert également la toxicité de cette substance qu'est le thiomersal (nommé aussi thimérosal) qui est un conservateur contenu dans plusieurs vaccins (hepatite B, hepatite A et R.O.R.).

Il est un dérivé mercuriel et l'on connaît bien les effets toxiques du mercure, vous vous souvenez peut-être des mesures prises afin que chacun abandonne définitivement le 'thermomètre au mercure'.

S'il y avait tant de risques, rien qu'en cassant son thermomètre, imaginez un peu les dégâts provoqués quand il est dans votre corps...

Le vaccin hepatite B non seulement contient de l'hydroxyde d'aluminium et également du thiomersal !

Quel coktail explosif !

Pour mieux comprendre, lisez donc la suite...

Définition : MERCURE Métal liquide lourd, blanc-argenté, qui est toxique pour la plupart des choses vivantes.

http://www.futura-sciences.com/comprendre/g/definition-mercure_388.php


Thiomersal
Liste des médicaments contenant la substance : Thiomersal

ATROPINE FAURE 1 % collyre

CONSTRILIA collyre

DACRYOLARMES collyre

DERMACHROME sol p appl cutanée

ENGERIX B 10 µg/0,5 ml susp inj IM Enf/Nour en ser

ENGERIX B 20 µg/ml susp inj IM Ad en ser

FLUARIX susp inj SC IM

FLUVIRINE susp inj SC IM

FRAMYXONE sol p instill auriculaire

FUNGIZONE LOTION 3 % susp p appl cutanée

I.R.S. 19 sol p pulv nasale

IMUDON cp à sucer

INDOBIOTIC collyre en fl

INDOCOLLYRE 0,1 % collyre en fl

KERATYL 1 % collyre

NEOSYNEPHRINE FAURE 10% Collyre en sol

NEOSYNEPHRINE FAURE 5% Collyre en sol

OCUFEN 0,03 % collyre en fl

PILOCARPINE FAURE 1 % collyre

PILOCARPINE FAURE 2 % collyre

POLYDEXA sol auriculaire

RIFAMYCINE CHIBRET 1MUI% Collyre

SPIROLEPT 200 M UI/ml susp inj SC

TWINRIX susp inj IM Ad en ser

TWINRIX susp inj IM Enf en ser

VITACIC collyre en unidose

VITARUTINE collyre

VITASEPTOL 0,012% Collyre

VOLTARENE 0,1 % collyre

© VIDAL 2005

Source : http://www.vidal.fr/Substance/thiomersal-3495.htm
'J’ai mis en rouge les vaccins'
ENGERIX enfants et adultes (contre l’hépatite B)
TWINRIX enfants et adultes (contre l’hépatite A)

La toxicité du mercure
Amy S. Holmes, M.D., Jane El-Dahr, M.D., Stephanie Cave, M.D.

Ce sujet fort important a été traité à la fois dans le cadre des présentations offertes aux parents et aux médecins et des sessions générales. Lorsqu’elle s’est adressée aux parents, Amy Holmes a commencé par donner les statistiques suivantes : entre 1997 et 1999, on a pu observer une hausse de 2,6 % du taux de tous les handicaps chez les enfants âgés de six à 21 ans, mais l’incidence de l’autisme a connu une augmentation de 26 %! Selon elle, cela signifie que le taux d’incidence actuel de l’autisme est d’environ un pour 250 enfants et, chez les garçons, il passe à un pour 150.

L’une des découvertes les plus intéressantes rapportée par Jane El-Dahr est que les symptômes de l’empoisonnement par le mercure sont similaires à ceux de l’autisme. Les deux comportent les éléments suivants :

* timidité, retrait, indifférence à l’égard des autres, désir de solitude, expression faciale peu marquée
* perte du langage ou carence dans le développement du langage, difficultés à comprendre le langage, problèmes d’articulation, perte d’audition légère à grave
* trouble obsessif compulsif, pensées répétitives, tendance à tourner sur soi, balancements et postures inhabituelles, battements des bras, grimaces, agitation, persévération, hyperactivité
* aversion pour le toucher, sensibilité aux sons et à la lumière
* dépression, manque d’initiative, anxiété, sautes d’humeur, irritabilité, accès de colère (chez les enfants), colère
* troubles de l’attention, altérations de la mémoire auditive et verbale à court terme, déficience/ détérioration intellectuelle, troubles de la pensée abstraite
* difficulté à s’asseoir, à se traîner à quatre pattes et à marcher, tendance à tomber sur le côté, problèmes d’écriture, maladresse, démarche ou posture anormales
* pleurs inexpliqués (chez les nourrissons), comportement automutilatoire (se frapper la tête ou se mordre les mains), marche sur la pointe des pieds, graves problèmes de sommeil, troubles de l’alimentation
* diarrhée, constipation, colite, perméabilité intestinale accrue ('intestin poreux'), difficultés au plan de l’alimentation
* hypertonie ou hypotonie, faible force musculaire, paralysie cérébrale, sudation, tachycardie (battements cardiaques irréguliers), eczéma
* et bien d’autres encore!

Amy Holmes et Jane El-Dahr ont ensuite nommé des sources possibles d’exposition au mercure (soit chez la mère, pendant la grossesse, soit chez l’enfant, après sa naissance), c’est-à-dire la consommation de poisson ou de fruits de mer, les amalgames dentaires (plombages), les solutions pour lentilles cornéennes (qui renfermaient un type de mercure, le thimérosal, jusqu’en 1998, aux États-Unis), le vaccin Rhogam (mères rhésus négatif), de nombreux vaccins administrés aux enfants (le ROR, par exemple), les vaccins contre la grippe et les gouttes pour les yeux et les oreilles. Ils peuvent en effet tous contenir encore du thimérosal.

Il faut alors se demander pourquoi l’autisme se manifeste uniquement chez certains enfants, étant donné que la plupart des enfants sont exposés à environ la même quantité de mercure. Selon les conférencières, la génétique peut probablement expliquer ce phénomène. Si, par exemple, un enfant est prédisposé à avoir un système immunitaire affaibli ou s’il présente un dysfonctionnement de certaines protéines, les métallothionéines (voir la présentation de William Walsh, un peu plus loin dans le texte), il sera alors plus sensible à une exposition au mercure.

Pourquoi les taux d’incidence de l’autisme ont-ils augmenté? Au cours des 50 dernières années, l’exposition au mercure, résultant entre autres des vaccins, s’est accrue de manière exponentielle. Stephanie Cave a d’ailleurs fait part de ces statistiques alarmantes : en 1950, chez les nourrissons de moins de six mois, l’exposition au mercure pouvait atteindre 50 mcg, en 1970, elle était de 75 mcg et, en 1992, de 187,2 mcg.

Amy Holmes a poursuivi avec les recommandations suivantes concernant les vaccins :

* Ils ne devraient pas contenir de thimérosal.
* Le vaccin anti-Hib est sécuritaire.
* Le DtaP ne devrait être donné que lorsque l’enfant commence à marcher assez bien.
* Le vaccin contre la rougeole devrait être administré aux enfants âgés de deux ans et séparément des vaccins contre les oreillons et la rubéole.
* Le vaccin contre les oreillons devrait être donné seul et non en association avec les vaccins contre la rougeole et la rubéole.
* Il faudrait que les filles uniquement reçoivent le vaccin contre la rubéole (indiqué en cas de grossesse) et séparément des vaccins contre la rougeole et les oreillons.
* Les filles et les garçons devraient recevoir le vaccin contre l’hépatite B juste avant la puberté, mais celui-ci ne devrait pas être administré à ceux qui pratiquent une sexualité sans risque et qui n’utilisent pas de drogues injectables.

Grâce aux médecins du DAN, tels qu’Amy Holmes, Jane El-Dahr et Stephanie Cave, et à de nombreux autres qui, au cours des deux dernières années, ont présenté divers rapports lors de sessions publiques du gouvernement américain, plusieurs vaccins ne contiennent maintenant plus de thimérosal et, dans les hôpitaux américains, on ne se sert plus de thermomètres qui renferment du mercure. Cependant, aux États-Unis (et probablement au Canada, également) de nombreux vaccins contiennent toujours du mercure. Il faudrait donc que les parents insistent pour que leurs enfants reçoivent des vaccins sans thimérosal et ils peuvent même demander à voir le contenant dans lequel se trouve le vaccin avant qu’il ne soit administré à leurs enfants.

Chez les enfants et les adultes autistes, le traitement de la toxicité du mercure peut se faire grâce à une détoxication (similaire à celle que l’on utilise dans les cas d’empoisonnement par le plomb), procédé à la fois sûr et efficace. Ce traitement doit cependant se faire avec l’aide d’un médecin. Chez les jeunes enfants et les personnes qui ont connu une période de développement normal avant de manifester une régression, on a pu constater que la réponse à ce type de traitement était très rapide. Ils peuvent en effet retrouver partiellement ou même totalement leurs habiletés langagières et sociales et leurs fonctions motrices et comportement peuvent s’améliorer considérablement. Chez les adultes, toutefois, la détoxication peut prendre beaucoup plus de temps, mais on peut éventuellement constater une nette amélioration de leur comportement. Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur le mercure et les vaccins, vous pouvez communiquer avec Safe Minds, 14, Commerce Drive, 3e étage, Cranford, New Jersey 07016; téléphone : (908) 276-8032; site Internet : www.safeminds.com.

On peut trouver un article de Stéphanie Cave à l’adresse :

http://www.bioprobe.com/ReadNews.asp?article=27

L’un des principaux américains à s’être penché sur le problème du mercure dans l'autisme est le Dr. Amy Holmes (médecin et mère d’un enfant autiste)

Source : http://autisme-france.fr/toxicite_mercure.htm

Petite précision : les dérivés mercuriels portent différents noms, thimérosal, thiomersal etc...revoir liste au début de cette page.

Hép@tites.com n°3 - septembre/octobre 2000

Thiomersal : l'AFSSAPS appuie l'Agence européenne des médicaments

L'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (AFSSAPS) s'est associée aux propositions de l'Agence européenne d'évaluation des médicaments (EMEA) concernant l'utilisation du thiomersal dans la fabrication de vaccins.

Le thiomersal est un composé contenant du mercure, utilisé comme conservateur dans les médicaments et dans les vaccins, dont celui contre l'hépatite B. Selon l'Agence française de sécurité sanitaire et des produits de santé (AFSSaPS), une exposition répétée au mercure, par les aliments ou les médicaments, doit faire l'objet d'une attention particulière en raison de son accumulation potentielle dans différents organes. Aux Etats-Unis, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) ont coordonné la réalisation de deux études épidémiologiques pour rechercher d'éventuels liens entre la dose cumulée de mercure apportée par les vaccins aux nourrissons dans leurs six premiers mois de vie et la survenue d'atteintes neurologiques et rénales. Si rien n'a été démontré, de nouvelles études sont toutefois nécessaires.

L'AFSSAPS rappelle que, par précaution, l'Agence européenne d'évaluation des médicaments (EMEA) avait déjà demandé en juillet 1999 aux industriels de travailler au retrait du thiomersal comme conservateur dans les vaccins. Son comité des spécialités pharmaceutiques a rappelé, le 4 juillet 2000, sa décision rendue publique le 8 juillet 1999 de promouvoir l'utilisation de vaccins ne contenant pas de thiomersal chez les nourrissons et les jeunes enfants. Il exige des laboratoires producteurs de vaccins qu'ils soumettent leur plan de retrait du thiomersal des vaccins. Il estime cependant que, pour la santé de la population générale et des enfants, le bénéfice de l'utilisation des vaccins contenant du thiomersal reste très largement supérieur au risque actuellement non démontré associé aux faibles doses de thiomersal. Enfin, il recommande l'utilisation de vaccins sans thiomersal, quand ils sont disponibles, pour la vaccination des nouveau-nés (voir tableau).

Alexandre Biosse Duplan

Les autorités sanitaires européennes réclament le retrait des vaccins contenant du mercure . Cette mesure de précaution vise principalement l’im- munisation des nourrissons contre l’hépatite B

Le Monde Mardi 7 Juillet 2000 (extrait )

'l’Agence européenne d’évaluation des médicaments a recommandé, mardi 4 juillet, que les vaccins contenant des composés de mercure ne soient plus utilisés chez les nourrissons et les jeunes enfants. Cette mesure, visant à prévenir d’éventuels risques neurologiques, principalement l’immunisation contre l’hépatite B. deux des trois vaccins commercialisés en France contiennent actuellement un dérivé du mercure.

L’AGENCE européenne d’évaluation des médicaments a annoncé, mardi 4 juillet à Londres, que seuls les vaccins ne contenant pas de composé à base de mercure devaient dorénavant être utilisés chez les nourrissons et les jeunes enfants. Le même jour, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a fait savoir qu’elle s’associait aux décisions de l’Agence européenne ; décisions qui devraient, en pratique, conduire à l’arrêt de l’utilisation de deux des trois vaccins protecteurs contre l’hépatite virale de type B actuellement commercialisés en France, ainsi que de sept vaccins antigrippaux.

La molécule incriminée, parce que potentiellement toxique, est le thiomersal (ou le mercurothiolate sodique), un composé contenant du mercure et utilisé depuis plus de vingt ans, en tant que produit conservateur, par l’industrie pharmaceutique dans la composition de certains médicaments et vaccins. ' Aux Etats-Unis, afin d’étudier l’éventuelle toxicité des faibles doses de mercure apportées par le thiomersal contenu dans certains vaccins, les Centers for Disease Control and Prévention ont coordonné la réalisation de deux études épidémiologiques visant à rechercher l’existence d’une association entre la dose cumulée de mercure apportée par les vaccins aux nourrissons dans les six premiers mois de vie et la survenue d’atteintes neurologiques et rénale, précise-t-on auprès de l’Afssaps. Les observations rapportées dans ces études n’ont pas permis de conclure à l’existence d’_unrisque associé au thimersal, et de nouvelles études sont nécessaires. '

On souligne d’autre part, auprès de l’Agence européenne du médicament, avoir demandé il y a un an déjà, aux responsables de l’industrie pharmaceutique concernés, de travailler au retrait du thiomersal dans les préparations vaccinales et de soumettre un plan d’action permettant d’atteindre au plus vite cet objectif.

A la même époque, l’Agence européenne avait également recommandé aux autorités sanitaires ' l’utilisation de vaccins sans thiomersal, quand ces derniers étaient disponibles, pour la vaccination des nouveau-nés '. quoique n’ayant pas permis de conclure d’un point de vue scientifique, les études épidémiologiques américaines concernant la possible nocivité de doses cumulées de mercure administrées, via les vaccins aux nourrissons ont conduit les autorités sanitaires européennes à prendre publiquement position.

En pratique, c’est la vaccination contre l’hépatite virale de type B qui est la plus visée. Cette vaccination est en effet officiellement recommandée chez tous les nourrissons à partir de l’âge de deux mois, et deux des trois vaccins commercialisés en France contiennent du thiomersal (à hauteur de 25 micro-grammes par dose de 0,5 ml). Il s’agit de l’Engerix B10 (de la firme SmithKline Beecham) et de l’HBVAX DNA (d’Aventis Pasteur MSD). Seul le Genhevac B Pasteur ne comporte pas, dans sa composition, de mercure. ' Les modalités pratiques des vaccinations des nourrissons aux Etats-Unis, ou il n’existe pas de combinaison vaccinale, peuvent conduire à des expositions plus importantes de composés contenant du mercure dans les six premiers mois de la vie, a expliqué au Monde le docteur Benoît Soubeyrand, directeur médical d’Aventis Pasteur MSD. En France les différentes associations vaccinales protégeant en même temps contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite et l’infection à haemophilus influenzaeb ne contiennent pas de mercure, et les doses contenues dans les seuls vaccins contre l’hépatite B sont, et de très loin, inférieures au seuil pouvant être considéré comme susceptible d’induire des pathologies '.

Les multinationales Aventis Pasteur MSD et SmithKline Beecham ont d’ores et déjà mis au point des vaccins anti-hépatite B thiomersal-free (' sans thiomersal ') qui viennent d’être autorisés à la commercialisation aux Etats-Unis. Ces deux firmes ont également déposé auprès de l’Agence européenne du médicament des demandes en ce sens. A Londres – où l’on est prêt à accorder une autorisation de commercialisation au terme d’une procédure accélérée -, on estime toutefois que les deux géants pharmaceutiques, qui ont une nouvelle fois privilégié le marché américain, n’ont pas les moyens d’assurer une production suffisante à l’échelon européen.

Tous ces éléments surviennent alors que le vaccin contre l’hépatite B est, depuis quelques années, au centre d’une controverse grandissante en France quant à son innocuité, à tel point qu’il n’est plus utilisé, en dépit des recommandations officielles, que sur un nourrisson sur quatre (Le Monde daté du 4-5 juin).Aussi les responsables sanitaires français redoutent-ils que la nouvelle mesure, prise au titre du principe de précaution, n’amplifie rapidement les réactions de méfiance vis-à-vis d’une méthode préventive qui a fait la preuve de son efficacité.

Des vaccins antigrippaux aussi concernés :

*Outre les deux vaccins protecteurs contre l’hépatite virale de typeB (Engerix B10, HBVAX DNA), six vaccins antigrippaux commercialisés en France contiennent du thiomersal et devraient, à ce titre, ne plus être utilisés. Il s’agit du Vaxigrip enfants, du Vaxigrip et du Mutagrip (Aventis Pasteur MSD), du Fluarix (SmithKline Beecham), de l’Immugrip (laboratoires Pierre Fabre), de l’Influvac (laboratoire Solvay Pharma). D’autre part, le vaccin antigrippal Fluvirine (laboratoire Evans Medical) contient des ' traces ' de mercure, un élément qui n’est pas mentionné dans le dictionnaire Vidal des médicaments. De tous les vaccins antigrippaux commercialisés en France seul le Previgrip (laboratoires Cassenne) est fabriqué sans mercurothiolate sodique.

*La vaccination antigrippale est fort peu mise en œuvre dans les deux premières années de la vie, à l’exception des enfants souffrant de certaines maladies de longue durée et qui, à ce titre doivent être protégés contre cette infection virale saisonnière'. Jean-Yves Nau

VACCINS (extrait VIVA octobre 2000)

LE MERCURE TARDE A DISPARAÎTRE …

'Trois mois après la recommandation officielle de ne plus utiliser de vaccins contenant du mercure, certains d’entre aux sont encore vendus en pharmacie. En juillet dernier, l’Agence européenne d’évaluation des médicaments(Aeem) et l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) ont demandé aux laboratoires de retirer de leurs vaccins le thiomersal, un composé contenant du mercure. La mesure concerne surtout les produits contre l’hépatite B et la grippe destinés aux enfants. Aujourd’hui, les antigrippaux concernés* ne sont plus en vente, contrairement à deux vaccins contre l’hépatite B ( Engerix B10 deSmitKline Beecham et Hbvax Dna d’Adventis Pasteur Msd). Pour seule explication, ces firmes invoquent la ' lenteur ' de la procédure d’autorisation de mise sur le marché européen de vaccins sans thiomersal déjà commercialisés aux Etats-Unis. L’Aeem pense, elle, que les deux multinationales ont privilégié le marché américain et qu’elles sont incapables d’assurer une production suffisante à l’échelle européenne'.
* fluvirine, Vaxigrip et Vaxigrip Enfant, Fluarix, Immugrip, Influvac, Mutagrip.

'Le mois dernier , Viva déplorait que trois mois après la recommandation* de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) de ' retirer au cours des prochains mois le thiomersal des vaccins ' antigrippaux et contre l’hépatite B, ce conservateur composé de mercure soit toujours présent dans certains vaccins contre l’hépatite B. Les vaccins antigrippaux n’étaient alors pas encore en pharmacie, où ils sont reçus à la mi-octobre. La campagne de vaccination bat aujourd’hui son plein et, surprise, à une exception près, les antigrippaux contiennent encore du thiomersal ! Les fabricants ne peuvent pourtant pas invoquer les stocks à écouler, la composition du vaccin étant modifiée chaque année selon le virus en cours. ' La mise au point du vaccin sans ce conservateur nécessite des mois de travail, pour observer si le produit conserve la même stabilité et la même efficacité ', dit-on chez Aventis Pasteur Msd, leader mondial des vaccins. Du coup, les labos remettent à l’an prochain la mise sur le marché d’un vaccin sans mercure. Question : pourquoi avoir attendu la recommandation de l’Afssaps pour entamer les recherches, alors que l’Agence européenne d’évaluation des médicaments avait demandé aux industriels de ' travailler au retrait du thiomersal ' dès juillet 1999 ? Attention, ne boycottez pas le vaccin pour autant : son bénéfice est très largement supérieur aux risques potentiels dus à la dose de mercure qu’il contient, surtout pour les personnes de plus de 60 ans. '

* Rendue publique le 4 juillet 2000.

http://ase.ouvaton.org/vaccinsmercure.htm

Tiré du site http://aluminiumetvaccins.e-monsite.com/accueil.html

 



 


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